Moselle : une femme se dit séquestrée depuis 2011, la garde à vue du mari prolongée, ce que l’on sait

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Ce qu’il s’est passé

L’homme, âgé de 55 ans et de nationalité allemande, a été interpellé à 6h lundi par la police dans un appartement de Forbach en Moselle. C’est son épouse, Allemande également, qui l’a accusé de séquestration et tortures, réussissant à passer un appel téléphonique dimanche. Elle dit avoir été retenue depuis 2011 dans cet appartement. Suite à ces accusations, le quinquagénaire a vu sa garde à vue prolongée lundi après-midi par la brigade criminelle de la police judiciaire de Metz, notamment pour « actes de torture et de barbarie ».

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Elle avait été retrouvée dans une chambre, nue, le crâne rasé. Le mari, actuellement sans emploi, travaillait auparavant « dans l’industrie en Allemagne ». La femme « a appelé une association allemande de protection de victimes qui a appelé la police à Wiesbaden », a confirmé cette dernière qui a ensuite contacté la police française. Selon Le Républicain Lorrain, elle aurait passé l’appel dimanche en fin de journée « depuis le logement où elle était retenue par son conjoint dans des conditions sordides ».

La prudence du procureur

Le procureur de la République, Olivier Glady, n’a d’abord pas précisé l’état de santé de la quinquagénaire, examinée par l’unité médico-judiciaire de Metz, expliquant seulement qu’il n’est « pas bon ». Dans une conférence de presse lundi en fin d’après-midi, il a livré plus d’explications.

Ainsi, il a indiqué que le corps « ne présentait pas d’ecchymose évidente », ni de « déshydratation », pas plus que de traces de fractures, comme cela avait été décrit par des sources policières après l’arrestation du mari.

Au regard des premières constatations, la quinquagénaire a vraisemblablement été torturée, avait laissé entendre une source policière lundi matin. Mais là encore, le procureur de la République a nuancé ces révélations.

« L’existence d’un banc de torture n’est pas avérée », a-t-il assuré, ni celle d’un « carnet » décrivant des sévices infligés à la victime présumée. De même, il avait été dit que la femme a été retrouvée dans une chambre grillagée de l’appartement. Une source policière avait indiqué la présence « d’un banc de torture », ce qui a été démenti par le procureur. Quant au grillage, il servait manifestement « à empêcher » la dizaine de chats qui vivaient dans l’appartement du couple de s’échapper, a-t-il ajouté. « Le scénario semble permettre d’éloigner a priori le spectre d’une déclinaison de Barbe bleue », a-t-il expliqué, ajoutant « Je pense qu’une démarche de prudence s’impose dans cette situation ».

“Parfois, j’entendais des cris”

« Je n’ai jamais vu la dame, pour moi elle n’est jamais sortie du domicile », a témoigné auprès de journalistes Alicia, qui n’a pas souhaité donné son nom de famille, et se présente comme une voisine directe du couple. Ils vivaient au centre de Forbach, au deuxième étage d’un immeuble qui en compte trois, à deux pas de la mairie. Elle explique n’avoir jamais vu la femme en six ans.

« Mon propriétaire m’a dit qu’elle avait un cancer général (isé), c’est ce que (son compagnon) disait à tout le monde dans l’immeuble », a-t-elle ajouté, des éléments également évoqués par deux autres voisins. « Parfois, j’entendais des cris mais on pensait que c’était des cris de douleur » liés au cancer, a encore expliqué Alicia, selon laquelle les cris n’étaient pas très réguliers, « je l’ai entendue cinq/six fois en trois mois ».

Une version maintenue par le suspect lors de sa garde à vue, selon le procureur. L’homme était lui « très poli, gentil », mais les relations de voisinage s’arrêtaient à « Bonjour, au revoir », a encore indiqué Alicia.

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de maires-moselle.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Moselle ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Moselle », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. maires-moselle.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Moselle ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Moselle : une femme se dit séquestrée depuis 2011, la garde à vue du mari prolongée, ce que l’on sait

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Ce qu’il s’est passé

L’homme, âgé de 55 ans et de nationalité allemande, a été interpellé à 6h lundi par la police dans un appartement de Forbach en Moselle. C’est son épouse, Allemande également, qui l’a accusé de séquestration et tortures, réussissant à passer un appel téléphonique dimanche. Elle dit avoir été retenue depuis 2011 dans cet appartement. Suite à ces accusations, le quinquagénaire a vu sa garde à vue prolongée lundi après-midi par la brigade criminelle de la police judiciaire de Metz, notamment pour « actes de torture et de barbarie ».

Sur le même sujet

Elle avait été retrouvée dans une chambre, nue, le crâne rasé. Le mari, actuellement sans emploi, travaillait auparavant « dans l’industrie en Allemagne ». La femme « a appelé une association allemande de protection de victimes qui a appelé la police à Wiesbaden », a confirmé cette dernière qui a ensuite contacté la police française. Selon Le Républicain Lorrain, elle aurait passé l’appel dimanche en fin de journée « depuis le logement où elle était retenue par son conjoint dans des conditions sordides ».

La prudence du procureur

Le procureur de la République, Olivier Glady, n’a d’abord pas précisé l’état de santé de la quinquagénaire, examinée par l’unité médico-judiciaire de Metz, expliquant seulement qu’il n’est « pas bon ». Dans une conférence de presse lundi en fin d’après-midi, il a livré plus d’explications.

Ainsi, il a indiqué que le corps « ne présentait pas d’ecchymose évidente », ni de « déshydratation », pas plus que de traces de fractures, comme cela avait été décrit par des sources policières après l’arrestation du mari.

Au regard des premières constatations, la quinquagénaire a vraisemblablement été torturée, avait laissé entendre une source policière lundi matin. Mais là encore, le procureur de la République a nuancé ces révélations.

« L’existence d’un banc de torture n’est pas avérée », a-t-il assuré, ni celle d’un « carnet » décrivant des sévices infligés à la victime présumée. De même, il avait été dit que la femme a été retrouvée dans une chambre grillagée de l’appartement. Une source policière avait indiqué la présence « d’un banc de torture », ce qui a été démenti par le procureur. Quant au grillage, il servait manifestement « à empêcher » la dizaine de chats qui vivaient dans l’appartement du couple de s’échapper, a-t-il ajouté. « Le scénario semble permettre d’éloigner a priori le spectre d’une déclinaison de Barbe bleue », a-t-il expliqué, ajoutant « Je pense qu’une démarche de prudence s’impose dans cette situation ».

“Parfois, j’entendais des cris”

« Je n’ai jamais vu la dame, pour moi elle n’est jamais sortie du domicile », a témoigné auprès de journalistes Alicia, qui n’a pas souhaité donné son nom de famille, et se présente comme une voisine directe du couple. Ils vivaient au centre de Forbach, au deuxième étage d’un immeuble qui en compte trois, à deux pas de la mairie. Elle explique n’avoir jamais vu la femme en six ans.

« Mon propriétaire m’a dit qu’elle avait un cancer général (isé), c’est ce que (son compagnon) disait à tout le monde dans l’immeuble », a-t-elle ajouté, des éléments également évoqués par deux autres voisins. « Parfois, j’entendais des cris mais on pensait que c’était des cris de douleur » liés au cancer, a encore expliqué Alicia, selon laquelle les cris n’étaient pas très réguliers, « je l’ai entendue cinq/six fois en trois mois ».

Une version maintenue par le suspect lors de sa garde à vue, selon le procureur. L’homme était lui « très poli, gentil », mais les relations de voisinage s’arrêtaient à « Bonjour, au revoir », a encore indiqué Alicia.

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de maires-moselle.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Moselle ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Moselle », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. maires-moselle.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Moselle ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Moselle : une femme séquestrée depuis 2011, son mari en garde à vue

Ses voisins ne la voyaient « jamais »: une femme d’origine allemande de 53 ans se disant séquestrée depuis 2011 par son mari dans un appartement à Forbach (Moselle) a été découverte ce lundi 7 août par la police qui a interpellé l’époux.

L’homme, âgé de 55 ans et de nationalité allemande, a été interpellé à 06H00 lundi par la police et placé en garde à vue, selon une source policière. Son épouse a été retrouvée dans une chambre, nue, le crâne rasé, dénutrie et présentant des fractures, a-t-on ajouté. Le mari, actuellement sans emploi et qui travaillait auparavant « dans l’industrie en Allemagne », a été placé en garde à vue par la brigade criminelle de la police judiciaire de Metz pour des faits de séquestration, viol aggravé et actes de torture et de barbarie, a précisé Olivier Glady, le procureur de la République de Sarreguemines.

Si ces faits venaient à être étayés, le parquet de Sarreguemines serait amené à se dessaisir du dossier au profit de celui de Metz, qui a compétence criminelle, a expliqué le magistrat. Selon RMC, la femme présentait des fractures « aux deux jambes et aux doigts ». Joints par l’AFP, le procureur de la République de Sarreguemines, Olivier Glady, n’a pas précisé l’état de santé de la quinquagénaire, examinée par l’unité médico-judiciaire de Metz, expliquant seulement qu’il n’est « pas bon ». Selon une source policière, la femme a été retrouvée dans une chambre grillagée dans l’appartement du couple situé dans le centre de Forbach, une ville à la frontière avec l’Allemagne. Une source policière avait indiqué la présence « d’un banc de torture », ce qui a été démenti par le procureur. Quant au grillage, il servait manifestement « à empêcher » la dizaine de chats qui vivaient dans l’appartement du couple de s’échapper, a-t-il ajouté.

« Jamais sortie »

La présence d’un « carnet » dans lequel l’homme aurait, selon RMC, « noté ses faits, et les moments où il nourrissait la victime », n’a pas non plus été confirmée à ce stade par le magistrat. La femme « a appelé une association allemande de protection de victimes qui a appelé la police à Wiesbaden », a confirmé à l’AFP cette dernière qui a ensuite contacté la police française. Selon Le Républicain Lorrain, elle aurait passé l’appel dimanche en fin de journée « depuis le logement où elle était retenue par son conjoint dans des conditions sordides ».

Au regard des premières constatations, la quinquagénaire a vraisemblablement été torturée, selon une source policière. « Je n’ai jamais vu la dame, pour moi elle n’est jamais sortie du domicile », a témoigné auprès de journalistes Alicia, qui n’a pas souhaité donné son nom de famille, et se présente comme une voisine directe du couple. Ils vivaient au centre de Forbach, au deuxième étage d’un immeuble qui en compte trois, à deux pas de la mairie. Elle explique n’avoir jamais vue la femme en six ans.

« Cancer » 

« Mon propriétaire m’a dit qu’elle avait un cancer général(isé), c’est ce que (son compagnon) disait à tout le monde dans l’immeuble », a-t-elle ajouté, des éléments également évoqué par deux autres voisins interrogés par l’AFP. « Parfois, j’entendais des cris mais on pensait que c’était des cris de douleur » liés au cancer, a encore expliqué Alicia, selon laquelle les cris n’étaient pas très réguliers, « je l’ai entendue cinq/six fois en trois mois ». L’homme était lui « très poli, gentil », mais les relations de voisinage s’arrêtaient a « Bonjour, au revoir », a encore indiqué Alicia.

Erika, qui a souhaité garder l’anonymat et réside dans une rue adjacente, dit quant à elle vivre dans le quartier depuis quinze ans. « La femme, je l’ai vue il y a peut être 10 ans », elle était « chauve », explique-t-elle. Erika pensait même « qu’elle était morte » ou « partie » et que son mari « vivait seul ». « C’est quelqu’un que l’on voyait très peu », poursuit Erika, disant l’avoir aperçu en train de « s’occuper de ses fleurs » il y a une quinzaine de jours sur son balcon. 

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de maires-moselle.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Moselle ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Moselle », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. maires-moselle.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Moselle ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Moselle : une femme séquestrée depuis 2011, son mari en garde à vue

Ses voisins ne la voyaient « jamais »: une femme d’origine allemande de 53 ans se disant séquestrée depuis 2011 par son mari dans un appartement à Forbach (Moselle) a été découverte ce lundi 7 août par la police qui a interpellé l’époux.

L’homme, âgé de 55 ans et de nationalité allemande, a été interpellé à 06H00 lundi par la police et placé en garde à vue, selon une source policière. Son épouse a été retrouvée dans une chambre, nue, le crâne rasé, dénutrie et présentant des fractures, a-t-on ajouté. Le mari, actuellement sans emploi et qui travaillait auparavant « dans l’industrie en Allemagne », a été placé en garde à vue par la brigade criminelle de la police judiciaire de Metz pour des faits de séquestration, viol aggravé et actes de torture et de barbarie, a précisé Olivier Glady, le procureur de la République de Sarreguemines.

Si ces faits venaient à être étayés, le parquet de Sarreguemines serait amené à se dessaisir du dossier au profit de celui de Metz, qui a compétence criminelle, a expliqué le magistrat. Selon RMC, la femme présentait des fractures « aux deux jambes et aux doigts ». Joints par l’AFP, le procureur de la République de Sarreguemines, Olivier Glady, n’a pas précisé l’état de santé de la quinquagénaire, examinée par l’unité médico-judiciaire de Metz, expliquant seulement qu’il n’est « pas bon ». Selon une source policière, la femme a été retrouvée dans une chambre grillagée dans l’appartement du couple situé dans le centre de Forbach, une ville à la frontière avec l’Allemagne. Une source policière avait indiqué la présence « d’un banc de torture », ce qui a été démenti par le procureur. Quant au grillage, il servait manifestement « à empêcher » la dizaine de chats qui vivaient dans l’appartement du couple de s’échapper, a-t-il ajouté.

« Jamais sortie »

La présence d’un « carnet » dans lequel l’homme aurait, selon RMC, « noté ses faits, et les moments où il nourrissait la victime », n’a pas non plus été confirmée à ce stade par le magistrat. La femme « a appelé une association allemande de protection de victimes qui a appelé la police à Wiesbaden », a confirmé à l’AFP cette dernière qui a ensuite contacté la police française. Selon Le Républicain Lorrain, elle aurait passé l’appel dimanche en fin de journée « depuis le logement où elle était retenue par son conjoint dans des conditions sordides ».

Au regard des premières constatations, la quinquagénaire a vraisemblablement été torturée, selon une source policière. « Je n’ai jamais vu la dame, pour moi elle n’est jamais sortie du domicile », a témoigné auprès de journalistes Alicia, qui n’a pas souhaité donné son nom de famille, et se présente comme une voisine directe du couple. Ils vivaient au centre de Forbach, au deuxième étage d’un immeuble qui en compte trois, à deux pas de la mairie. Elle explique n’avoir jamais vue la femme en six ans.

« Cancer » 

« Mon propriétaire m’a dit qu’elle avait un cancer général(isé), c’est ce que (son compagnon) disait à tout le monde dans l’immeuble », a-t-elle ajouté, des éléments également évoqué par deux autres voisins interrogés par l’AFP. « Parfois, j’entendais des cris mais on pensait que c’était des cris de douleur » liés au cancer, a encore expliqué Alicia, selon laquelle les cris n’étaient pas très réguliers, « je l’ai entendue cinq/six fois en trois mois ». L’homme était lui « très poli, gentil », mais les relations de voisinage s’arrêtaient a « Bonjour, au revoir », a encore indiqué Alicia.

Erika, qui a souhaité garder l’anonymat et réside dans une rue adjacente, dit quant à elle vivre dans le quartier depuis quinze ans. « La femme, je l’ai vue il y a peut être 10 ans », elle était « chauve », explique-t-elle. Erika pensait même « qu’elle était morte » ou « partie » et que son mari « vivait seul ». « C’est quelqu’un que l’on voyait très peu », poursuit Erika, disant l’avoir aperçu en train de « s’occuper de ses fleurs » il y a une quinzaine de jours sur son balcon. 

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de maires-moselle.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Moselle ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Moselle », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. maires-moselle.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Moselle ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Moselle : une femme séquestrée depuis 2011, son mari en garde à vue

Ses voisins ne la voyaient « jamais »: une femme d’origine allemande de 53 ans se disant séquestrée depuis 2011 par son mari dans un appartement à Forbach (Moselle) a été découverte ce lundi 7 août par la police qui a interpellé l’époux.

L’homme, âgé de 55 ans et de nationalité allemande, a été interpellé à 06H00 lundi par la police et placé en garde à vue, selon une source policière. Son épouse a été retrouvée dans une chambre, nue, le crâne rasé, dénutrie et présentant des fractures, a-t-on ajouté. Le mari, actuellement sans emploi et qui travaillait auparavant « dans l’industrie en Allemagne », a été placé en garde à vue par la brigade criminelle de la police judiciaire de Metz pour des faits de séquestration, viol aggravé et actes de torture et de barbarie, a précisé Olivier Glady, le procureur de la République de Sarreguemines.

Si ces faits venaient à être étayés, le parquet de Sarreguemines serait amené à se dessaisir du dossier au profit de celui de Metz, qui a compétence criminelle, a expliqué le magistrat. Selon RMC, la femme présentait des fractures « aux deux jambes et aux doigts ». Joints par l’AFP, le procureur de la République de Sarreguemines, Olivier Glady, n’a pas précisé l’état de santé de la quinquagénaire, examinée par l’unité médico-judiciaire de Metz, expliquant seulement qu’il n’est « pas bon ». Selon une source policière, la femme a été retrouvée dans une chambre grillagée dans l’appartement du couple situé dans le centre de Forbach, une ville à la frontière avec l’Allemagne. Une source policière avait indiqué la présence « d’un banc de torture », ce qui a été démenti par le procureur. Quant au grillage, il servait manifestement « à empêcher » la dizaine de chats qui vivaient dans l’appartement du couple de s’échapper, a-t-il ajouté.

« Jamais sortie »

La présence d’un « carnet » dans lequel l’homme aurait, selon RMC, « noté ses faits, et les moments où il nourrissait la victime », n’a pas non plus été confirmée à ce stade par le magistrat. La femme « a appelé une association allemande de protection de victimes qui a appelé la police à Wiesbaden », a confirmé à l’AFP cette dernière qui a ensuite contacté la police française. Selon Le Républicain Lorrain, elle aurait passé l’appel dimanche en fin de journée « depuis le logement où elle était retenue par son conjoint dans des conditions sordides ».

Au regard des premières constatations, la quinquagénaire a vraisemblablement été torturée, selon une source policière. « Je n’ai jamais vu la dame, pour moi elle n’est jamais sortie du domicile », a témoigné auprès de journalistes Alicia, qui n’a pas souhaité donné son nom de famille, et se présente comme une voisine directe du couple. Ils vivaient au centre de Forbach, au deuxième étage d’un immeuble qui en compte trois, à deux pas de la mairie. Elle explique n’avoir jamais vue la femme en six ans.

« Cancer » 

« Mon propriétaire m’a dit qu’elle avait un cancer général(isé), c’est ce que (son compagnon) disait à tout le monde dans l’immeuble », a-t-elle ajouté, des éléments également évoqué par deux autres voisins interrogés par l’AFP. « Parfois, j’entendais des cris mais on pensait que c’était des cris de douleur » liés au cancer, a encore expliqué Alicia, selon laquelle les cris n’étaient pas très réguliers, « je l’ai entendue cinq/six fois en trois mois ». L’homme était lui « très poli, gentil », mais les relations de voisinage s’arrêtaient a « Bonjour, au revoir », a encore indiqué Alicia.

Erika, qui a souhaité garder l’anonymat et réside dans une rue adjacente, dit quant à elle vivre dans le quartier depuis quinze ans. « La femme, je l’ai vue il y a peut être 10 ans », elle était « chauve », explique-t-elle. Erika pensait même « qu’elle était morte » ou « partie » et que son mari « vivait seul ». « C’est quelqu’un que l’on voyait très peu », poursuit Erika, disant l’avoir aperçu en train de « s’occuper de ses fleurs » il y a une quinzaine de jours sur son balcon. 

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de maires-moselle.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Moselle ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Moselle », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. maires-moselle.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Moselle ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Moselle Spectaculaire sortie de route à Hambach : le maire excédé par les fréquents accidents

Dans la nuit de samedi 5 et dimanche 6 août, vers 23 h 45, sur la RD 99 à l’entrée du village de Hambach, un automobiliste a fait une sortie de route. Il a buté sur un petit îlot central. Dans sa course, il a percuté une voiture en stationnement.

C’est l’accident de trop. « Nous avons constaté avec les élus que la…

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de maires-moselle.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Moselle ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Moselle », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. maires-moselle.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Moselle ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Moselle Spectaculaire sortie de route à Hambach : le maire excédé par les fréquents accidents

Dans la nuit de samedi 5 et dimanche 6 août, vers 23 h 45, sur la RD 99 à l’entrée du village de Hambach, un automobiliste a fait une sortie de route. Il a buté sur un petit îlot central. Dans sa course, il a percuté une voiture en stationnement.

C’est l’accident de trop. « Nous avons constaté avec les élus que la…

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de maires-moselle.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Moselle ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Moselle », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. maires-moselle.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Moselle ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Moselle Spectaculaire sortie de route à Hambach : le maire excédé par les fréquents accidents

Dans la nuit de samedi 5 et dimanche 6 août, vers 23 h 45, sur la RD 99 à l’entrée du village de Hambach, un automobiliste a fait une sortie de route. Il a buté sur un petit îlot central. Dans sa course, il a percuté une voiture en stationnement.

C’est l’accident de trop. « Nous avons constaté avec les élus que la…

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de maires-moselle.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Moselle ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Moselle », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. maires-moselle.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Moselle ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

En Moselle, une femme séquestrée et torturée par son mari depuis 2011 découverte par la police

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Une femme de 53 ans séquestrée depuis 2011 dans un appartement à Forbach (Moselle) a été découverte lundi 7 août par la police qui a interpellé son mari, âgé de 55 ans, a-t-on appris de source policière.

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de maires-moselle.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Moselle ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Moselle », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. maires-moselle.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Moselle ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Ma vie de maire [4/5] : à Veckring, un maire multi-casquettes à la manœuvre

Direction l’Est de la France aujourd’hui, et le village de Veckring en Moselle. Le maire, Pascal Jost, a lancé des dizaines de projets dans sa commune de 700 habitants. Mais ce qu’il n’a pas dans son village, ce sont des services communaux. C’est donc à lui de tout faire, du ramassage des poubelles à la conduite du car scolaire. Un engagement total, au service des autres, au prix de sacrifices, pour lui-même et sa vie de famille.

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Un conducteur peu ordinaire prend les rênes du car scolaire stationné sur le parking du terrain de football de Veckring. Ce conducteur, c’est monsieur le maire : Pascal Jost, en poste depuis 2014. Un rapide coup de balai, passage par l’éthylotest et démarrage du moteur.

Pascal Jost va passer six heures de sa journée au volant du car scolaire. Matin, midi et soir, il emmène les enfants de son village et ceux des alentours, dans les écoles et collèges du coin. Il parcourt jusqu’à 300 kilomètres par jour d’après ses calculs.

Pascal Jost au volant du car scolaire. Matin, midi et soir, il emmène ls enfants de son villages et ceux des alentours, dans les écoles et collèges du coin. Selon ses calculs il parcourt 300 km par jour.
Pascal Jost au volant du car scolaire. Matin, midi et soir, il emmène ls enfants de son villages et ceux des alentours, dans les écoles et collèges du coin. Selon ses calculs il parcourt 300 km par jour. © Baptiste Coulon/RFI

Un métier qu’il cumule avec sa fonction de maire. Car son indemnité de 1200 euros ne lui permet pas de vivre avec trois enfants. Une manière aussi et surtout de rendre service à sa commune, alors que la France connaît une pénurie de chauffeurs de car scolaire. 

Calme au moment de prendre la route, le car scolaire devient tout de suite plus bruyant à mesure que les sièges se remplissent d’enfants peu pressés de rejoindre les bancs de l’école. Monsieur le maire fait la police, les yeux braqués vers le rétroviseur intérieur, et rappelle aux jeunes de s’asseoir et de s’attacher.

Un maire multi-casquettes

Quand il n’est pas sur la route, Pascal Jost est en mairie. « On a du mal à me suivre. Mes collègues me disent, « Mais punaise, tu ne dors pas« , parce que parfois, ils ont des mails à 3 heures du matin », raconte l’élu. Son car passe une première fois devant « sa » mairie ou plutôt « sa deuxième maison », comme il aime à l’appeler. Une maison si présente dans son quotidien qu’elle lui fait parfois perdre les pédales au volant du car scolaire : « J’oublie parfois d’arrêter les gens à certains arrêts parce que j’étais ailleurs quoi. J’étais déjà dans ma mairie. »

Pascal Jost ne s’arrête jamais. Sur son bureau, en mairie, les dossiers s’entassent.
Pascal Jost ne s’arrête jamais. Sur son bureau, en mairie, les dossiers s’entassent. © Baptiste Coulon/RFI

À Veckring, il y a 700 habitants, un petit magasin d’alimentation, mais très peu de services municipaux dédiés au ramassage des poubelles ou à l’éclairage par exemple. Alors, c’est au maire de tout faire. En une matinée, Pascal Jost a été éboueur, standardiste en mairie, agent immobilier et donc conducteur de car scolaire.

Multi-casquette, Pascal Jost ne s’arrête jamais. Sur son bureau, en mairie, les dossiers s’entassent. « Là vous avez le courrier, les signatures, les dossiers urgents et moins urgents, énumère-t-il en pointant du doigt les piles de documents. Même le bureau de mon ordinateur est plein », s’esclaffe-t-il.

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Nombreux sacrifices

Il en rigole, mais le concède, sa vie de famille en prend un coup. Et ce n’est pas sa femme qui dira le contraire. À la question de savoir si elle a le temps de le voir, sa réponse fuse : « Non, il est que pour sa mairie lui ! »

Vingt minutes. C’est le temps de sa pause, chez lui, à midi. Juste de quoi avaler une blanquette de veau concoctée par sa femme et c’est reparti : il faut ramener les enfants à l’école. « Je n’ai pas de vie de famille. Ma femme me le reproche souvent, je ne suis jamais à la maison », concède-t-il.

Son engagement est total, sa petite commune, c’est toute sa vie.
Son engagement est total, sa petite commune, c’est toute sa vie. © Baptiste Coulon/RFI

Son engagement pour sa commune est total, mais se paye aussi au prix de nombreux sacrifices et à des habitants pas toujours reconnaissants :« Il y en a beaucoup qui me disent que ce que je fais, c’est bien. Il y en a d’autres qui disent, « Mais qu’est-ce qu’il fait chauffeur de bus« . Ils ne le disent pas comme ça, mais je le sens. Il ne faut pas attendre de remerciements. »

Et pas question pour lui de ne pas se représenter en 2026, lors des prochaines élections municipales : « J’ai trop de projets en cours et que je vais devoir terminer donc je serai obligé de continuer. C’est l’excuse ! »

Continuer malgré les sacrifices. Car, comme il le dit lui-même : sa petite commune, c’est toute sa vie.

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